Miss Delight a des cheveux dorés chatoyants et un nœud papillon cramoisi sur le dessus de la tête. Elle porte une jupe cramoisie déchirée ornée de pois ludiques et une chemise tricolore vibrante de bleu, de rouge et de jaune avec un symbole de pomme. Une cravate cramoisie rehausse sa chemise de bureau. Le sourire qu'elle arborait autrefois s'est complètement brisé, laissant apparaître la chair et les dents, désormais sales. Une partie de sa chemise est déchirée et sale, ce qui s'est probablement produit pendant l'Heure de Joie. Ses chaussures sont recouvertes d'une paire de teintes cramoisies et sont ornées de broderies bleues complexes. Son corps est composé de plusieurs segments sur différentes articulations, ressemblant à une poupée à rotule. Elle manie une étoile du matin[1] de fortune appelée "Barb". La tête est formée d'une pelote de ficelle hérissée de crayons de couleur pointus, et une règle jaune cassée sert de manche. La tête et le bout pointu du manche sont couverts de sang séché. D'après son découpage et le message de l'interphone, Mlle Delight était une enseignante très gentille et douce, qui s'exprimait d'une voix suave. Désireuse de transmettre ses connaissances aux enfants de la garderie, Mlle Delight encourageait les élèves à lui poser, ainsi qu'à ses sœurs, des questions sur les sujets qui les intéressaient. Cependant, après l'Heure de Joie, elle a commencé à sombrer dans la folie. Ses notes et son journal audio montrent qu'elle est lentement devenue folle à lier, fabriquant une arme de fortune dans un état de paranoïa et l'appelant Barb, la considérant même comme une personne vivante par la suite. Selon les notes, une accumulation de confinement dans l'école, de famine, puis le fait d'être choisie pour mourir en premier, ont poussé Miss Delight à recourir au cannibalisme, dévorant le reste des enseignants, ses sœurs, pour satisfaire son désespoir de survivre. Cela a donné naissance à une obsession tordue pour les effusions de sang, au point de viser des êtres innocents si elle en avait l'occasion, affirmant que si CatNap n'avait pas caché les enfants survivants de Playcare, elle les aurait tous tués également.